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EN IMAGES - Mario Draghi, le président de la plus influente des institutions européennes, trouve «injustes» les critiques des manifestants anti-BCE. Selon lui, les manifestants se trompent d'adversaire.

Alors que l'émeute semble déclarée dans les environs de laBanque centrale européenne, à Francfort, le président de la plus influente des institutions européennes a tenté de calmer les esprits, mercredi à la mi- journée. Les critiques à l'encontre de la BCE «sont sans doute injustes», a plaidé son président, Mario Draghi, dans le discours qu'il a tenu à l'occasion de l'inauguration des nouveaux locaux de la BCE, une double tour de verre de 185 mètres de haut, dont la construction a couté 1,3 milliard d'euros et qui symbolise aux yeux des protestataires de Blockupy l'arrogance de la finance. Ils ont choisi ce jour pour dénoncer «l'austérité en Europe» dictée par «l'ignoble Troïka» et appeler, notamment, à la solidarité avec la Grèce. Plusieurs milliers de policiers ont été mobilisés pour faire face aux manifestants: ils étaient quelque 10.000 de toute l'Europe à être attendus. Toute la circulation aux alentours de la BCE avait été arrêtée.

Depuis mercredi matin, des affrontements ont lieu entre militants et forces de l'ordre, qui ont utilisé des canons à eau et du gaz lacrymogène pour disperser la foule. Pour Mario Draghi, les manifestants se trompent d'adversaire. «Notre action a visé précisément à adoucir les chocs dont ont souffert les économies», a-t-il assuré devant le très petit comité d'invités à la cérémonie d'inauguration. «Il y en a certains, comme les nombreux manifestants dehors aujourd'hui, qui pensent que le problème est que l'Europe en fait trop peu. Ils veulent une Europe plus intégrée avec plus de solidarité entre nations. Et d'autres, comme les partis populistes que nous avons vu apparaître dans toute l'Europe, qui pensent que l'Europe en fait trop. Leur réponse est de renationaliser nos économies et de revendiquer la souveraineté économique», a-t-il poursuivi. «Je comprends ce qui motive ces opinions et pourquoi les gens veulent du changement. Mais en vérité, aucun (de ces deux courants) n'offre de réelle solution à la situation que nous connaissons aujourd'hui», a-t-il assuré.

Depuis mercredi matin, des affrontements ont lieu entre militants et forces de l'ordre, qui ont utilisé des canons à eau et du gaz lacrymogène pour disperser la foule. Pour Mario Draghi, les manifestants se trompent d'adversaire. «Notre action a visé précisément à adoucir les chocs dont ont souffert les économies», a-t-il assuré devant le très petit comité d'invités à la cérémonie d'inauguration. «Il y en a certains, comme les nombreux manifestants dehors aujourd'hui, qui pensent que le problème est que l'Europe en fait trop peu. Ils veulent une Europe plus intégrée avec plus de solidarité entre nations. Et d'autres, comme les partis populistes que nous avons vu apparaître dans toute l'Europe, qui pensent que l'Europe en fait trop. Leur réponse est de renationaliser nos économies et de revendiquer la souveraineté économique», a-t-il poursuivi. «Je comprends ce qui motive ces opinions et pourquoi les gens veulent du changement. Mais en vérité, aucun (de ces deux courants) n'offre de réelle solution à la situation que nous connaissons aujourd'hui», a-t-il assuré.

Depuis mercredi matin, des affrontements ont lieu entre militants et forces de l'ordre, qui ont utilisé des canons à eau et du gaz lacrymogène pour disperser la foule. Pour Mario Draghi, les manifestants se trompent d'adversaire. «Notre action a visé précisément à adoucir les chocs dont ont souffert les économies», a-t-il assuré devant le très petit comité d'invités à la cérémonie d'inauguration. «Il y en a certains, comme les nombreux manifestants dehors aujourd'hui, qui pensent que le problème est que l'Europe en fait trop peu. Ils veulent une Europe plus intégrée avec plus de solidarité entre nations. Et d'autres, comme les partis populistes que nous avons vu apparaître dans toute l'Europe, qui pensent que l'Europe en fait trop. Leur réponse est de renationaliser nos économies et de revendiquer la souveraineté économique», a-t-il poursuivi. «Je comprends ce qui motive ces opinions et pourquoi les gens veulent du changement. Mais en vérité, aucun (de ces deux courants) n'offre de réelle solution à la situation que nous connaissons aujourd'hui», a-t-il assuré.

Depuis mercredi matin, des affrontements ont lieu entre militants et forces de l'ordre, qui ont utilisé des canons à eau et du gaz lacrymogène pour disperser la foule. Pour Mario Draghi, les manifestants se trompent d'adversaire. «Notre action a visé précisément à adoucir les chocs dont ont souffert les économies», a-t-il assuré devant le très petit comité d'invités à la cérémonie d'inauguration. «Il y en a certains, comme les nombreux manifestants dehors aujourd'hui, qui pensent que le problème est que l'Europe en fait trop peu. Ils veulent une Europe plus intégrée avec plus de solidarité entre nations. Et d'autres, comme les partis populistes que nous avons vu apparaître dans toute l'Europe, qui pensent que l'Europe en fait trop. Leur réponse est de renationaliser nos économies et de revendiquer la souveraineté économique», a-t-il poursuivi. «Je comprends ce qui motive ces opinions et pourquoi les gens veulent du changement. Mais en vérité, aucun (de ces deux courants) n'offre de réelle solution à la situation que nous connaissons aujourd'hui», a-t-il assuré.

Depuis mercredi matin, des affrontements ont lieu entre militants et forces de l'ordre, qui ont utilisé des canons à eau et du gaz lacrymogène pour disperser la foule. Pour Mario Draghi, les manifestants se trompent d'adversaire. «Notre action a visé précisément à adoucir les chocs dont ont souffert les économies», a-t-il assuré devant le très petit comité d'invités à la cérémonie d'inauguration. «Il y en a certains, comme les nombreux manifestants dehors aujourd'hui, qui pensent que le problème est que l'Europe en fait trop peu. Ils veulent une Europe plus intégrée avec plus de solidarité entre nations. Et d'autres, comme les partis populistes que nous avons vu apparaître dans toute l'Europe, qui pensent que l'Europe en fait trop. Leur réponse est de renationaliser nos économies et de revendiquer la souveraineté économique», a-t-il poursuivi. «Je comprends ce qui motive ces opinions et pourquoi les gens veulent du changement. Mais en vérité, aucun (de ces deux courants) n'offre de réelle solution à la situation que nous connaissons aujourd'hui», a-t-il assuré.
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Alors que l'émeute semble déclarée dans les environs de laBanque centrale européenne, à Francfort, le président de la plus influente des institutions européennes a tenté de calmer les esprits, mercredi à la mi- journée. Les critiques à l'encontre de la BCE «sont sans doute injustes», a plaidé son président, Mario Draghi, dans le discours qu'il a tenu à l'occasion de l'inauguration des nouveaux locaux de la BCE, une double tour de verre de 185 mètres de haut, dont la construction a couté 1,3 milliard d'euros et qui symbolise aux yeux des protestataires de Blockupy l'arrogance de la finance.

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Alors que l'émeute semble déclarée dans les environs de laBanque centrale européenne, à Francfort, le président de la plus influente des institutions européennes a tenté de calmer les esprits, mercredi à la mi- journée. Les critiques à l'encontre de la BCE «sont sans doute injustes», a plaidé son président, Mario Draghi, dans le discours qu'il a tenu à l'occasion de l'inauguration des nouveaux locaux de la BCE, une double tour de verre de 185 mètres de haut, dont la construction a couté 1,3 milliard d'euros et qui symbolise aux yeux des protestataires de Blockupy l'arrogance de la financ